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Mai 2013 !

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Sa majesté ne fait pas que lire

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4 août 2011 4 04 /08 /août /2011 18:51

les cents ans de dracula

 Le Mots de l'Editeur:

" Sur son cou et sa poitrine on voyait des traces de sang, et sa gorge portait les empreintes des dents cruelles qui avaient ouvert ses veines...»

Minuit. L'heure où les ténèbres recouvrent le monde... L'heure du vampire!

Oh! Bien souvent, on ne le voit pas. Mais la pâleur morbide de ses victimes et les deux points rouges qu'elles portent dans le cou signalent son terrible passage.

Depuis un siècle, le comte Dracula n'a cessé d'enflammer les imaginations. Son élégance froide et raffinée fascine. Hélas! Condamné à l'éternelle solitude, il doit, pour survivre, se nourrir chaque nuit de sang frais!

Pour fêter les 100 ans du plus célèbre d'entre eux, huit vampires sont ici réunis. Huit nouvelles (dont une, inédite, de Claude Askew) sous la plume inspirée des plus grands maîtres du genre: Goethe, Polidori, Gautier, Crawford, Stoker, Jean Ray et Lovecraft... "

 

Mon avis:

Cela fait bien longtemps maintenant que je n’avais lu des nouvelles. Non pas par une raison particulière mais tout simplement parce que l’occasion ne s’était pas présentée plus tôt. Ce recueil, que je ne regrette pas d’avoir lu, marque ainsi mon retour dans le genre.

Petite présentation des nouvelles :

La fiancée de Corinthe(W. Goethe) est un poème qui vers après ver nous conte la passion instantanée et fougueuse de deux êtres qui se rencontrent pour la première fois mais qui sont promis l’un à l’autre depuis bien longtemps par un quelconque contrat de mariage. Hélas, le facteur vampire vient rapidement changer la donne pour leur amour.

Le Vampire(J. W. Polidori) nous met face à un vampire dandy, au caractère biaiseu, qui profite des plus beaux plaisirs de la vie. Elle nous propulse dans la cruauté et la malice que peut déployer cet être de la nuit pour arriver à ses fins, blessant émotionnellement et tuant quiconque croise sa route et qui n’a d’importance à ses yeux.

La morte amoureuse (T. Gauthier) mélange le bien au mal, la raison à la folie et surtout le pécher au plaisir. Elle est celle qui se rapproche le plus de la bit-lit que nous connaissons aujourd’hui de par ses formes modernes et l’ambiance générale.

Car la vie est dans le sang(F. M. Crawford) commence par une énigme surnaturelle qui débouche bien vite sur l’addiction irrationnelle d’un homme envers une vampire. Nuit après nuit elle le vide de son sang et de sa force vitale jusqu'à ce qu’une tierce personne s’en mêle…

L’invité de Dracula (B. Stoker) nous offre une ébauche de son talent dans une nouvelle déroutante et singulière. Le ton est donné dès les premiers mots mais de là à savoir ce qui nous attend serait présomptueux. C'est une lecture qui nous met face aux superstitions encore bien ancrées dans nos moeurs actuelles.

Aylmer Vance et le Vampire(C. Askew) est une nouvelle qui peut paraitre déroutante car elle se distingue des autres par son style. Elle nous plonge au cœur de l’Ecosse (quelle meilleur cadre que celui-ci pour des phénomènes étranges ?!), dans un château particulier qui possède un bien mauvais pouvoir. Mais serait-ce seulement le château ou bien autre chose qui affaibli et surtout asservit ses habitants ?

Le gardien du cimetière(J. Ray) nous raconte l’expérience de cet énième gardien. Arrivé dans le cimetière par hasard, il va voir à jamais sa vie changée par l’horreur qui l’entoure et dont il va se rendre compte juste à temps pour ne pas prendre le même chemin que ses prédécesseurs.

La maison maudite(H. P Lovecraft) ou comment une curiosité mal placée de notre enfance peut conditionner notre quête une fois arrivé à l’âge adulte. De matière plus scientifique, cette nouvelle nous entraîne sur les pas d'un vampire qui se nourrit des membres de la maison qu'il hante, et ce depuis des générations.

Maintenant que les présentations sont faites, passons au plus sérieux.

J’ai beaucoup aimé ce recueil. Les nouvelles nous entraînent (de manière chronologique) dans les différents courants littérairessur les vampires. A travers chaque texte on peut déceler des caractéristiques physiques et psychologique communes aux vampires mais on voit aussi apparaître de nouveaux attributs ou formes (vapeur, esprit, etc.).

Les nouvelles se lisent relativement bien, quoi qu’il faille être attentif au style employé qui est différent selon l’époque d’écriture. Je pense que pour pouvoir savourer au mieux ces écrits, il faut prendre le temps de les lire les uns après les autres. Faire des pauses entre chaque nouvelle est important. Chose que je n’ai pas faite et qui m’a, je pense, empêché de capter au mieux le sens de chaque texte.

J'aime beaucoup cette couverture, elle me rappelle les films d' Halloween, j'arrive presque à entendre le cri du loup ou l'ultrasson de la chauve souris quand je la regarde.

Alors, si vous êtres fans des êtres aux longues dents (et même si vous ne l’êtes pas), ces classiques sont un plus pour votre culture et une bonne introduction à la bit-lit d’antan. Et puis, entre nous, pour le prix, mieux vaut ne pas se priver de ce bon moment  !

 

couronne

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30 avril 2011 6 30 /04 /avril /2011 15:58

hamlet, othello, macbeth w shakespeare

Le Mot de l'Editeur:

" II y a quelque chose de pourri au royaume du Danemark ! " Le soir venu, le spectre du roi défunt hante les brumes du château d'Elseneur.
II crie vengeance. Honte à son frère Claudius, le lâche assassin ! Hamlet, son fils, a promis... Ce crime ne restera pas impuni. Mais au bord du gouffre, le voilà qui vacille : " Être ou ne pas être ? " Jeu de miroirs, faux-semblants... Théâtre dans le théâtre... Folie simulée ou véritable démence ? Le meurtre est pourtant bien réel. Et la mort d'Ophélie annonce d'autres désastres. Au coeur de la tragédie jaillissent alors les voix mystérieuses du pouvoir et de la guerre, de l'amour et de la mort. "

Mon avis:

C’est toujours un plaisir de faire une pause dans mes lectures de l’imaginaire pour revenir aux essentiels de la culture comme les œuvres de Shakespeare. Après Roméo et Juliette cet hiver, me voici de retour avec cette œuvre incontournable qu’est Hamlet. Je me réserve les deux autres pièces du livre pour plus tard.

Quelle joie de retrouver la plume de ce célébrissime auteur. J’aime toujours autant sa fluidité et sa manière d’amener les événements, de nous exposez les mœurs des personnages et enfin  de nous porter le coup de grâce avec le dénouement tragique. Je n’ai jamais été autant happée par du théâtre que par cette pièce. Je comprends maintenant pourquoi cette pièce est la plus aimé des œuvres de Shakespeare. Il est vrai que moi-même je la préfère à Roméo et Juliette.

Dans cette tragédie, Shakespeare nous montre la plus pure versalité et fourberie de l’homme. Mais aussi la douleur de la perte de l’être cher. J’ai beaucoup aimé le personnage Hamlet, il est étonnant. J’ai été charmée par ses monologues, qui bien que longs, sont d’une grande richesse et apportent énormément au récit.

L’histoire en elle-même n’est pas vraiment extraordinaire. Mais à l’époque de son écriture elle était révélatrice de faits courants toujours bien cachés aux yeux de tous, comme le meurtre, le suicide, l’inceste, le complot

Seul petit couac : la multitude de personnages. J’ai du plusieurs fois revenir à la page de distribution des rôles pour savoir qui est qui.

En bref: je ne peux que recommander cette lecture, et si vous n’êtes ni fans de théâtre ni de classiques, sachez que cette lecture vous réconciliera aisément avec ces deux genres.

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27 mars 2011 7 27 /03 /mars /2011 09:38

romeo et juliette, W. S

Le Mots de l'Editeur :

" Dès le prologue, nous sommes prévenus : un drame fatal se prépare pour un couple d'amoureux nés sous la pire des étoiles, et rien, sinon leur mort, n'apaisera la haine inexpiable que se vouent leurs nobles familles.

Ballet, opéra, chanson, cinéma : les enfants de Vérone, instantanément envoûtés par leur réciproque beauté, ont fait le tour du monde. Juliette est victime de son innocence et de sa pureté ; Roméo, de sa fougue. Autant que la rivalité de leurs parents, c'est le destin qui entraîne leur séparation, un mauvais sort fait de hasards, d'accidents et de malchances.

Par la grâce du génie poétique de Shakespeare, le succès de Roméo et Juliette ne s'est jamais démenti. Dans une harmonie de rêve, ces amants adolescents incarnent toute la tragédie de la jeunesse révoltée au nom de l'amour contre le conformisme et la stupidité du monde adulte. "

 

Mon avis :

Roméo et Juliette. Rien que ces deux noms font rêver les jeunes filles, les femmes ou tous autres cœurs sensibles. Roméo et Juliette, ou la grande définition de la passion et de l’amour pur et dur, du coup de foudre.  Un classique, un théâtre, un Shakespeare…

Je me suis décidée à lire ce livre pour diverses raisons. La première est que l’an dernier j’ai pu lire en partenariat avec BOB le livre de Anne Fortier, Juliette [curieux ?!], qui dépoussière et réinvente le Roméo et Juliette originel. Ensuite, il faut avouer que la couverture est superbe. Cette scène du balcon est vraiment magnifique. C’est en fait une bien belle édition avec une préface riche, complète et même un peu trop détaillée. De plus ce livre est à un prix vraiment dérisoire, alors pourquoi s’en priver ?!

Cette lecture est ma première rencontre avec Shakespeare et fête mon premier livre classé "théâtre" depuis bien longtemps. J’ai beaucoup aimé la plume de l’auteur. Les jeux de mots et effets de styles. Les tirades sont imagées et les personnages prenants. Bien que le thème soit dramatique j’y ai trouvé matière à sourire quelques fois.

La seule petite chose que je pourrais reprocher à cette pièce c’est le caractère de Roméo. J’ai eu du mal à ne pas lever les yeux au ciel pendant certaines de ses tirades. Mais il incarne l’exagération de la jeunesse de par sa fougue alors je ne lui en veux pas.

En bref, c’est une première rencontre avec cet auteur qui est payante et qui me donne envie de découvrir ses autres œuvres. Tiens, ça tombe bien… Hamlet, Othello et Macbeth sont déjà dans ma PAL 

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15 mars 2011 2 15 /03 /mars /2011 20:37

alice-au-pays-des-merveilles-10384308

Le Mot de l'Editeur :

" Par un jour d'été 1862, sur les berges de la Tamise, un jeune professeur d'Oxford, poète et mathématicien, improvise un conte pour distraire les trois fillettes d'un de ses amis.
Charles Dodgson, alias Lewis Carroll, est en train d'improviser Alice au pays des merveilles. Assise au bord de la rivière, Alice s'ennuyait un peu quand soudain, venu de nulle part, surgit un lapin blanc pressé de regagner son terrier. N'hésitant pas à le suivre, Alice pénètre dans un monde de prodiges et de menaces qui n'est autre que le royaume de l'enfance. Et voici le chat de Cheshire à l'étrange sourire, la terrible Reine de cœur, le Chapelier fou et le Lièvre de Mars, la Fausse Tortue et le Valet-Poisson...Un siècle et demi plus tard, ce monde enfantin et absurde, surréel et symbolique, est resté le nôtre. "

 

Mon avis :

Il y a quelques années je lisais les vrais contes de Charles Perrault  (vous savez ceux qui sont dépourvus de chichis enfantins et si moralisateurs) et j’avais adoré connaître l’origine des contes de fées que Walt Disney nous sert de génération en génération. Ainsi j’ai eu envie de pousser la curiosité et de me procurer cette version originale de l’histoire d’Alice.

Ce livre, et surtout cette édition, a tout pour plaire: une couverture magnifique, un livre extra fin (et donc commode pour les grands lecteurs en manque de place que nous sommes), une préface très intéressante et un prix dérisoire.

Lewis Carroll nous plonge dès les premières pages dans un monde totalement loufoque, avec des personnages inattendues et des événements totalement imprévisibles. Il nous entraîne à la suite d’Alice, enfant de bonne famille et curieuse comme pas deux, dans un pays souterrain inconnu et très peuplé.

J’ai beaucoup aimé retrouver les traits de caractère typiques d’un enfant comme la gourmandise, la candeur, le fait de parler avant de réfléchir et l’aspect "madame je sais tout ". J’ai aussi beaucoup aimé que les scènes du livre se suivent en ordre logique sans de réelles coupures d’unité de temps.

Par contre j’ai trouvé trop facile l’aspect du "je grandis et rapetisse quand je le veux". De même, j’ai eu du mal à comprendre toutes les allusions est jeux de mots qui, c’est vrai, en anglais doivent couler de source.

En bref, si vous êtes curieux et que vous avez envie de vous évadez dans un monde parallèle, ce livre saura vous ravir à coup sur

Et ci-dessous la bande annonce du film Alice au Pays des Merveilles de Tim Burton pour vous mettre dans l’ambiance ! (en VOSTF)


 
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18 décembre 2010 6 18 /12 /décembre /2010 09:35

histoire de la princesse de Montpensier, Madame de Lafayett

 

Le Mots de L'Editeur:

«M. de Guise ne se mêlait point dans la conversation, et sentant réveiller dans son cœur si vivement tout ce que Mme de Montpensier y avait autrefois fait naître, il pensait en lui-même qu'il pourrait y demeurer aussi bien pris dans les liens de cette belle princesse que le saumon l'était dans les filets du pêcheur.»

Madame de Lafayette (1634-1693) est l'auteur de l'un des romans les plus connus de la littérature française, La Princesse de Clèves, paru en 1678. Amie de Madame de Sévigné et de quelques grandes figures littéraires de son temps, elle a également écrit des mémoires, des nouvelles historiques et un long roman, Zaïde.

Mon avis:

Je tiens tout d’abord à remercier les éditions Folio qui m’on gracieusement offert ce livre via leur page Facebook et merci aussi à toutes celles qui m’ont aidées à le gagner par leur « j’aime » !

Comme vous pouvez le voir, c’est le premier grand classique que je chronique sur ce blog, et à vrai dire, que je lis depuis bien longtemps. Ceci explique pourquoi j’ai commencé ce livre de trois petites histoires avec un peu d’appréhension qui n’a pas tardé à s’envoler au loin.

Dans « Histoire de la Princesse de Montpensier » et dans « Histoire de la Princesse de Tende » il est question de passion et de sentiments contre morale, d’amours impossibles aux fins tragiques. Mais dans la dernière nouvelle (ou plutôt extrait), « Histoire d’Alphonse et de Bélasire », on est face à la plus pure des jalousies qu’un homme peut éprouver ainsi que la souffrance que cela cause pour les deux amants.

Ce sont de petites histoires qui se lisent assez bien mais qui nécessitent quand même de s’accrocher car ce langage fleuri et d’une beauté incroyable n’est pas si facile à déchiffrer pour nous qu’il l’était dans d’autres époques. Le livre est vraiment court (une centaine de pages tout au plus) mais pas assez pour que l’on ne sente pas les messages passés par Madame de Lafayette et que l’on  ne plonge pas dans cette époque aux côtés de ces personnages si élégants.

En bref, j’ai bien aimé me plonger dans un classique de ma propre initiative et d’être agréablement surprise par ce style d’écriture assez particulier mais qui reste à la porté de tous. C’est une bonne pause lecture et évasion dans une époque où l’amour n’était que retenue et beau langage.

A savourer donc [et pour un prix dérisoire ] !

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